D'autant qu'il a fallu s'adapter, dans un délai particulièrement court, puisque les annonces du président de la République ont été faites le 12 juillet dernier.
"Un défi logistique" reconnait Thomas Mondon, le directeur marketing et communication du parc, qui a un coût. "On a investi plusieurs milliers d'euros dans des smartphones pour scanner les pass et on fait aussi appel à un prestataire privé qui réalisera des tests sur place pour les personnes n'ayant pas pu s'organiser en amont. Le but est de ne laisser personne de côté".
Ce test, qui n'est pas remboursé par l'assurance maladie, est une "solution de secours" qui coûtera 25 euros au visiteur.
Quel impact sur la fréquentation ?
Alors que la saison avait démarré sur de bonnes bases (plus fort qu'en 2020) depuis la réouverture le 9 juin dernier, cette nouvelle contrainte pour les visiteurs suscite l'inquiétude. Thomas Mondon assure avoir reçu de très nombreux messages et de questions, ces derniers jours de la part de visiteurs qui tentent de s'organiser pour venir.
"On reste un loisir de proximité, avec beaucoup de décisions de dernière minute et il faut donc s'organiser pour aller faire un test avant si on n'est pas vacciné. On entend toutes ces contraintes et on tente d'informer au mieux", explique-t-il.
Le directeur marketing et communication du parc ne se fait guère d'illusion : "On s'attend à un impact plus ou moins important sur la fréquentation". Même si pour l'heure, il est impossible dire quelle en sera l'ampleur.