"Un sacrifice financier"
Cette estimation du taux de grévistes, plus faible que la précédente, s'explique selon le syndicat par "les journées de mobilisation qui se succèdent et deviennent un sacrifice financier pour les enseignants".
"Il y a également une préoccupation des enseignants de ne pas pénaliser enfants et parents au dernier moment", a expliqué sa secrétaire générale, Guislaine David.
Pour la dernière journée de mobilisation jeudi dernier, le Snuipp-FSU avait anticipé la veille entre 40 et 50% des professeurs du primaire en grève. Le ministère de l'Éducation a ce jour-là annoncé un taux d'enseignants grévistes de 23,22% dans le primaire et 19,61% dans le secondaire (collèges et lycées).