En cause : certains élèves croyaient qu'elle avait été infectée par le coronavirus, tout simplement parce qu'elle est d'origine asiatique.
Son tweet a été partagé 40 000 fois.
Protocole harcèlement et ateliers de prévention au lycée
Selon Le Progrès, la jeune fille a été convoquée dimanche par la police. Elle aurait avoué avoir menti sur les violences soit disant subies, mais pas sur le racisme dont elle aurait été victime.
D'ailleurs le lycée Paul Painlevé, où elle est scolarisée, a décidé de mettre en place un protocole harcèlement et des ateliers de prévention.
La jeune fille n'a pas porté plainte mais déposé une simple main courante.
Après l'affaire Mila, la police rappelle aux adolescents de faire attention à ce qu'ils publient sur les réseaux sociaux, et que le mieux à faire en cas de harcèlement, c'est de porter plainte.